Management : la culture d’entreprise, un vecteur du succès

Management : la culture d’entreprise, un vecteur du succès

26 novembre 2020 0 Par Yves

À l’exception d’une entreprise individuelle dont dans la plupart des cas le fondateur n’a pas des subordonnées, une entreprise est une unité économique et institutionnelle composée de dirigeants, d’actionnaires, de collaborateurs, ainsi que des employés ou des salariés. Le management s’impose, étant le vecteur de la réussite d’une entreprise. Sans mettre l’accent sur la déontologie et l’éthique au travail, une entreprise a, en principe, le privilège d’établir sa propre « culture » ou déontologie. La culture d’entreprise revêt en quelque sorte de l’importance dans le cadre d’un management.

Les caractéristiques de la culture d’entreprise

La culture d’entreprise désigne une charte à laquelle doivent se référer dirigeants et employés ou salariés. Ladite charte constitue les règlements internes qui régissent l’entreprise. Ces règlements caractérisent interdits et tabous, mais pas que.

Les éléments majeurs de la déontologie professionnelle prennent en compte la diversité de la personnalité de tout un chacun qui compose l’entreprise. La culture d’entreprise peut être mise en exergue dans le contrat de travail, mais elle peut aussi former une lettre ou une charte à part entière, à laquelle chaque individu a facilement accès.

Les objectifs de la culture d’entreprise

Entretenir un bon management est synonyme d’établir une culture d’entreprise. Elle contribue à l’optimisation du fonctionnement de l’entreprise concernée. La culture d’entreprise sert d’une boussole pour les individus qui composent l’entreprise. Cette boussole est leur référence en cas de litiges, de litiges mineurs dans la plupart des cas.

Les litiges majeurs nécessitent souvent l’intervention d’un juriste d’entreprise qualifié. Dans le cas extrême, l’affaire passe au procès. La culture d’entreprise renforce la cohésion de l’équipe. Les règlements internes bel et bien conçus génèrent un sentiment d’appartenance entre les employés ou salariés et réduisent le risque de litiges qui pourraient surgir.

Qui crée la charte de l’entreprise ?

La culture d’entreprise ne se crée pas en elle-même. Certaines personnes se chargent de sa création. Il est fréquent que les dirigeants assurent cette tâche. Mais dans la plupart des cas ils le font pour l’entreprise dès les quelques trimestres de sa création. La mise en place des règlements internes se fait souvent entre employeurs et employés ou salariés.

Dans ce deuxième cas de figure, la présence d’un juriste d’entreprise et d’un psychologue organisationnel est nécessaire. Que ce soit entre les dirigeants ou entre les dirigeants et leurs subordonnées, des vifs débats doivent avoir lieu pour une culture d’entreprise dont tout le monde juge acceptable.

Mise en place de la culture d’entreprise : les éléments du débat

Les débats qui règnent entre les individus définis pour créer la culture d’entreprise doivent être effectués à plusieurs reprises. Ce qui peut donc être chronophage. Les paramètres à prendre le plus en compte et à aborder en premier, c’est les éléments qui permettent d’augmenter concrètement les chiffres d’affaires de l’entreprise.

Viennent ensuite les aspects professionnels de l’entreprise : le cadre du travail, la qualité des outils employés, la régularité des paiements, etc. L’autre paramètre qui entre en ligne de compte, c’est la diversité du caractère de chaque employé. Toute déontologie ou culture d’entreprise se doit de prendre en compte le côté humain des individus qui composent une entreprise. L’étude de la personnalité de tout un chacun s’impose, ainsi que la psychologie organisationnelle.

Il faut en quelque sorte recourir à un psychologue organisationnel. Celui-ci a comme fonction d’exposer nettement aux intervenants la personnalité de chacun. Dans l’hypothèse où ceux-ci seraient composés d’un ou des personnalités pathologiques dont les dirigeants ne parviennent pas à identifier, le psychologue organisationnel leur fait signe. Un tel cas contraint l’entreprise à faire un choix entre retenir ou renvoyer la ou les personnalités pathologiques, qui pourraient donner lieu à des sérieux problèmes à cette entreprise.